Dionysos ...On a beau dire , on a beau faire, il y a des choses dont on peut parler. "Oui j'ai vu ça a la télé. " "Moi j'ai vu ça sur You tube" . On peut bien parler autant qu'on veut, le vivre ne ressemble presque en rien a ce que l'on avait vu chez soit bien au chaud... Ce groupe a quelque chose de magic ... Un de ces trucs qui te fait vibrer de l'intérieur en une seul note ... Il te donne tellement envie de bouger, tellement envie de sauter partout qu'au bout de la première chanson, ton t-shirt est déjà mouillé complétement. Et puis ils se déchènent sur cet petite scène, comme si il avait était enfèrmé dans de minuscule cage pendant des mois et qu'il venait juste d'en sortir. Ils bougent partout et te transmettent une impression indescriptible. Il ne sont pourtant que 8 sur la scéne pour cinq mille personne. Enfin non, il sont sept plus un sur scène. Ce mathias n'est pas née sur cette planète, je ne peut pas le croire. Il doit venir de l'espace, d'autre galaxis. Un mélange de soleil, de lune et de tout plein d'étoile réunit en une seul personne. Un concentré electrique qui est toujours en surtention pendant un concert. Lui je savait qu'il était Exeptionnel, mais a ce point la. Jamais. Il a quelque chose en lui, quelque chose de magic. Je ne sais pas sauté comme lui. Pourtant, ils savent que je saute tout le temps. Sa seul présence proveque autour de lui une émotion qui se traduit par un excitation générale. Tout le monde chante, tout le monde fait comme lui. "C'est génial, j'ai l'impression d'être un curré" comme il le dit si bien. Il a tellement d'energie a donner qu'il nous a fait deux slam. Un premier que l'on pourrait qualifier de "normal" même si sa façon de se promener au-dessus des gens est si particulière. Mais le deuxième était exeptionnellement unique. Il a traversé toute la fausse et arriver au gradin, il y a une séparation. Il s'est fait tiré dans les gradins, monté tout tout tout en haut. Là un instant magic. le silence a reigner pendant une disaine de seconde sur le zénith. Il a sortit son higiaphone pour envoyer quelque parole de "Giant jack" et que la chanson reprènne encore plus fort. Il est alors redessandu comme un enfant sur un tobogan. Sur le ventre, porté par les gens. Arriver en bas des gradins, il est passé par dessus la barrière. Il devait y avoir environ un demi mètre entre ses pied et le public. Il a sauté. Comme on le ferrai a la piscine. Et encore une fois on l'a porté jusqu'a la scène. Si ce n'est pas un spectacle extraordinaire ça. Alors ça n'existe pas. Il ont commencé avec une chanson de leurs dernier album "the gost train". Une ambiance qu je n'avait jamais vu. Tout le monde saute. Tout le public se bouge. Il ont finit avec toutes la salle debout. "vous allez être dur a détrouné de la première place du meilleur public" nous a-t-il dit. Ils sont revenus deux fois. Toutes leurs chanssons était exceptionnel. Et cet demoiselle, Babet, a la voix si douce et si belle. Et ce monsieur le bassiste qui ne mets plus de lunnette mais des lentilles. Il avait une façon si particulière de jouer de la basse. Oh mais dans un concert comme ça tout est tellement bien que des détail te marqe et d'autre te passe a quinze mille. Je sais que Mathias mets des Globes. Il a su nous faire taire, et dieu sais que la tâche était difficile, mais vraiment le silence complet. On aurai pu entendre un papillon voler. Juste pour écouter la trompette. " Ta gueule le chat, ta gueule le chat , Ta gueule le chat!" Oh et puis des slam extraordinaire. J'en ai fait un des tout premier. L'un d'eux a duré 3 ou 4 minutes tellement le public était génialissime. Oh et puis cette fin de concert. On les a ovassionné. Pour de vrai, c'est mon meilleur concert de tout mes temps. Je crois qu'il va avoir du mal a être détronné. Et je le vois encore avec son harmonica, Sans micro, joué le début de Miss Acacia et ensuite nous la faire chanter, en guise d'au revoir. Toute une salle chanté, sans musique, juste avec un homme qui leur a soufflé les première paroles, Mathias Malzieu. Dionysos. <3
Elle est jolie quand même ...
Et quand je vous dit qu'il saute ...